Dark Toccata

Dark Toccata
Histoire des ombres.



Prélude aux mémoires

Je passe énormément de temps dehors, toujours en train de parcourir ce monde, de ses rues jusqu’aux contrés les plus lointaines de Rune Midgar. Je dois l’admettre, je ne prends jamais le temps de m’arrêter, le saint-père nous donne souvent des missions plus ou moins précises, mais quand ce n’est pas le cas je le passe ici mon temps, à l’église de Prontera.

Pourquoi je commence à écrire ? J’ai toujours aimé les livres, j’en lis souvent sur les chemins et je combats avec d’ailleurs, c’est sûrement une passion, ou plutôt une sorte de complice sur lequel je peux toujours compter. J’écris rarement, mais celui-ci est vierge et ne possède aucune ligne, pas de traces d’auteurs, rien… Une marchande me l’avait offert, je ne sais pour quelle raison mais je la remercie.

Je pense que c’est une occasion pour moi d’écrire ma propre histoire…

Je m’appel Soma, Soma Cruz… Si je veux réellement être pointilleux ce serait Sôma Kurusu mais c’est assez lointain à présent, je suis originaire d’Amatsu… du moins c’est ce que je crois. Je n’ai jamais eu la chance de connaître mes parents en fait, je devais être trop jeune quand ils sont décédés, je me souviens avoir vécu là bas avec mes deux frères, Nabutada l’aîné et Hidaeki le cadet, lui aussi n’a jamais vue le visage de nos parents, on ne pouvait qu’envier Nabutada qui nous racontait tout les soirs quelques histoires quand ils étaient encore là.




(Voilà je me lance, Hachi m'a décidé XD)

1er souvenir : Une enfance sous le signe des ténèbres.

Mon enfance ? Je n’ai qu’une étrange sensation quand j’y repense, mais cette période de ma vie peut se caractériser en un seul mot : « désespoir ».
Il s’est passé tellement de choses, des moments flous comme de très lucides.
Je ne connaissais pas mes parents, je vivais seul avec mes deux frères. Nabutada passait son temps à travailler pour nous faire vivre, on ne le voyait que le soir. Je suis devenu autonomes très vite car je devais m’occuper de Hidaeki durant son absence.
A part mes frères je n’avais rien, on ne voulait pas de moi au village, on me disait que j’étais maudis, que je n’étais pas un Kurusu, que ça se voyait à mon regard… je suis albinos, il est évident que j’ai des airs de Tarou ou de Lunatic, mais ça n’était jamais arrivé à Amatsu… J’étais assez renfermé sur moi-même, quand je n’étais pas à la maison je pleurais, les autres enfants ne voulaient pas jouer avec moi, ni même s’approcher… « Démon… ! Démon ! » qu’ils criaient à chaque fois en riant par la suite…
Je n’avais que 7 ans…



Qu’est-ce qu’un enfant est supposé faire dans des moments pareils ? Livré à moi-même je pleurais des parents dont je n’avais pas de souvenirs jusqu’à ce que Nabutada me trouve caché quelque part dans le village… Je ne lui avait jamais expliqué pourquoi je me comportais ainsi, mais je pense qu’il le savait très bien, ce qui le mettait très en colère dès que ça arrivait.
Il ne m’avait jamais expliqué clairement les raisons de cet acharnement sur moi, mais la peur de l’inconnu était sûrement la raison principale, en fait, c’était la seule et unique justification qu’il me donnait.

2ème souvenirs : Déchirement.
On avait beau me haïr, j’aimais ce village, c’était ma terre, comme celle de mes frères, là où repose mes parents. J’étais chez moi et c’était cette conviction qui m’accrochait à une lueur d’espoir. Amatsu, terre du destin… Je ne pensais pas que le mien allait se jouer ici.

C’était durant la nuit, quelqu’un venait de forcer la porte de la maison. Nabutada qui ne dormait pas encore nous cacha dans le garde-manger, j’avais peur, je n’ai rien vue de ce qui s’était passé, mais ça sonnait comme une bagarre, de la lumière… On nous avait trouvé, les assaillants, oui y’en avais plusieurs, portaient des uniformes, on aurait dit des soldats, comme ceux de notre ville, d’ailleurs, où étaient les nôtres ? J’ai tenté de mordre la première main qui voulait m’attraper, je comprenais rien à ce qu’ils disaient à l’époque…
De ce que je m’en souviens aujourd’hui, ils ont dit : « Choppez le p’tit aux cheveux blancs ! On en tirera pas mal de zenys ! », avant que je comprenne le payonnais je pensais que c’était le chef du village qui les avait envoyé pour me chasser. J’avais commencé à haïr mon village natal ainsi.



Cette nuit là a été la dernière où j’ai vue Nabutada, la dernière image que j’avais de lui, le dernier regard, celui d’un homme désemparé, il hurlait qu’il reviendrait me chercher peut importe où je serai. Quand mes kidnappeurs m’ont embarqué dans leur bateau, j’ai vue un des soldats l’emmener dans une des ruelles, j’ai hurlé en maudissant mon village… J’ignore ce qui lui ait arrivé cette nuit la, mais l’hypothèse de sa mort n’est pas à écarter… Sincèrement je n’y crois pas, à l’heure actuelle, je continue de le chercher, j’ai foi en Dieu et je sais qu’il est encore vivant, quelque part sur ces terres, j’en suis certain.

Franchement dès que je vois un beau dessin je l'imprime et je le colle dans ma chambre, tu est vraiment une artiste

3ème souvenirs : Razielle

Après deux semaines de bateau dans des conditions plus que précaire, je suis arrivé pour la première fois à Rune Midgar, dans la ville portuaire d’Alberta, il était encore tôt, personne sur les quais, seulement mes ravisseurs et moi.



Ils se sont empressés de partir de la ville, me traînant comme un chien, je ne savais pas où on allait, sans aucun doute à Payon pour me revendre comme un objet. Après une heure de marche, un des soldats tomba à terre, apparemment tranché à la nuque, les autres se mirent en garde, mais il était déjà trop tard. Etrangement je me fichais de savoir si j’allais mourir ou non, au point où j’étais…



L’auteur de ce massacre se présenta devant moi, une jeune femme aux longs cheveux roses, avec des ailes sur la tête. Un ange ? J’en avais jamais vue des comme ça mais elle venait de me sortir d’un beau pétrin.
Elle parlait ma langue et me rassura comme elle le pouvait, m’expliquant les intentions de ces soldats qui n’était autre que de simples marchands d’esclaves, ceux-ci avaient volé des uniformes de soldats payonnais afin d’accuser la ville où ils avaient rencontré par mal de problèmes. J’ai eu de chance à ce que je vois, elle ne pouvait supporter ce genre de pratique et poursuivait ces truands depuis un moment déjà, les empêchant de vendre les enfants qu’ils kidnappaient.



Habituellement les enfants qu’elle récupérait de leurs convois étaient ramenez aussitôt chez eux, ils avaient une maison… et une famille… Moi, je n’en avais plus, Nabutada était peut être mort, Hidaeki peut être pris en charge par les gens du village suite au drame ou bien tué également, et puis je pensais qu’on m’en avait chassé, je vous l’ai dit.
Bref, le moment était venu de construire ma vie, je ne devais pas me laisser abattre et garder espoir. J’ai donc demandé à cette jeune femme si je pouvais la suivre.
Elle se nomme Razielle, comme moi elle n’a pas connu ses parents, elle les cherche car elle a la conviction qu’ils sont encore vivants, et je le souhaitais de tout cœur, car on était dans la même situation, ça me rassurait de pouvoir parler à quelqu’un dans cette même situation.
Je l’ai suivie durant 5 années, durant lesquelles elle m’a appris à voler (Oui c’est pas bien je le sais, mais cas de force majeur, nous n’avions pas d’argent), à faire quelques tours aussi et bien sûr à parler la langue courante de Rune Midgar.
C’était une femme du voyage, nous sommes allés un peu partout sans se soucier du chemin que l’on prenait et où l’on arriverait demain, l’aventure, vivre au jour le jour.
J’ai appris beaucoup de choses à ses côtés, ces 5 années ont été un réel changement dans ma vie.

Aujourd’hui, elle continue de voyager sans se soucier de demain. Elle est mariée et mère de famille, son mari est d’ailleurs un sombre Templier, comme moi, et je m’occupe de leur fils, Jimmy, quand j’en ai la possibilité.
Jimmy souffre pas mal de l’absence de sa mère, mais un jour elle reviendra à la maison, si tu lis ces lignes mon petit, sache que ta mère est fière de toi et le sera toujours, alors soit fort et ne la déçois pas, tonton est fière de toi aussi.
(Pourquoi « tonton » vous me direz ? Au-delà des liens du sang, il y a ceux du cœur.)

/rice osti

Très bonne initiative Soma, ca fait toujours plaisir de voir tes dessins et j'adore l'idée qu'il existe plusieurs langues dans le royaume de Run Migdard , "le payonais" c'est tout simplement génial XD.
La suite

4ème souvenirs : L’élu

A mes 12 ans, je suis retourné à Amatsu, Razielle m’avait accompagné jusqu’à Alberta, me donnant des provisions pour le voyage, de l’argent, du papier et un crayon, c’était sa façon de me dire qu’elle serait avec moi, par le dessin. Durant le voyage je n’ai fais que ça d’ailleurs, j’avais fait un superbe portrait d’elle.



Amatsu n’était plus un village mais une ville paisible, qui avait gardé sa beauté d’entant.
Je pensais être revenu pour reprendre une vie normale auprès de mes deux frères mais l’illusion s’estompa très vite… Je me dirigeais instinctivement vers l’emplacement où se trouvait notre maison, mais je n’ai rien vue d’autre qu’un restaurent qui avait été bâtie dessus.
Bon… De toute façon j’avais faim… Je suis entré dans le restaurant, j’en ai profité alors pour interroger le gérant, il m’a d’ailleurs offert des sushi qui étaient excellent, ça faisait longtemps que je n’en avais pas mangé, il faut dire que ce qu’on mange à Rune Midgar est totalement différent d’ici.
Bref ! Le gérant m’avait expliqué qu’un enfant vivait seul ici, et qu’il avait accepté de céder la maison que si on lui donnait les moyens de prendre le bateau pour quitter Amatsu.
« Il était seul vous en êtes sûr ? »
« Ah oui, je peux vous le garantir. Vous prendrez bien du saké ? »
« … Non, je prendrais une bouteille de lait… »

Une fois sortie du restaurent il ne me restait plus grand-chose à faire… Hidaeki était partie, et aucun signes de Nabutada, je me sentie désemparé, les larmes sont venu peut après…
Je suis partie m’asseoir sur le quai, attendant un autre bateau, et remplir le large des larmes que j’avais à donner, à nouveau. Cela faisait depuis 5 années que je n’avais pas pleuré ainsi, je m’étais donc lâché, il n’y avait personne dehors, personne ne s’en souciait de toute façon… Je m’apitoyais sur mon sors comme je le faisais si bien à l’époque, et puis j’entendis quelque chose d’assez bruyant, du métal qui s’entrechoque, avec une voix qui s’emblait converser toute seule.
« Oooooooh ! Qu'il est mignon ! C'est beau ! C'est ... Mais euh, il est tout seul ... Qu’est-ce que ... »



Quand j’ai vue le gabarie, épée à la main qui plus est, je me suis demandé si je ne devais pas sauver ma peau en sautant dans l’eau.
Il continuait de se parler à lui-même, il semblait assez bête à première vue, surtout qu’il avait l’air légèrement endormie, il était soûl ?
« Hm… Je me demande s'il sait parler, à 5 ans on peut, nen? Bah ouais pourquoi pas, cette connasse d'Eiko elle a 6 ans et elle sait parler ! »
Comme pour le sonner un peu je pris la parole…
« Je m'appelle Sôma… Et j’suis pas un petit de 5 ans… j’en ai 12… Je n’ai plus de famille, tout ce qui me reste c’est ce dessin… »
« Merde, j’ai cru que t'avais 5 ans, bon s’pas grave, moi ces Zelos, donc ni famille, ni logement, ni rien… et ce dessin… Ouaw ! Elle est jolie mais je ne sais pas qui c’est non plus… »
J’avais une chance sur un million pour qu’il la connaisse, après tout, Razielle était une ombre…
Il me regarda un bon moment, j’en fis de même, il posa sa main sur mon épaule pour me rassurer, la pluie commença à tomber sur Amatsu.
« Suis moi, it’s too bad s’te pluie... Nous allons à l'auberge, je vais devoir veiller sur toi... Pour l’instant. »

C’est ainsi qu’il m’adopta, je l’ai très vite considéré comme un père et lui comme un fils, c’est un homme vraiment spécial. Finalement, en retournant à Amatsu, la terre du destin m’a offert un magnifique cadeau : l’amour d’un père.

(PS : Les débuts de Soma selon Zelos, consultez le BG "Lame Blanche" sur le fofo d'Arcadya

PS2 : Merci pour vos commentaires, et Doum : /pif ! )

5ème souvenirs : Great Teacher Zelos



C’était un beau matin à Amatsu, et moi je venais de me réveiller en sursaut, j’avais cauchemardé… Razielle… Je savais que je ne la reverrais pas avant un long moment, je devais trop m’inquiéter pour elle.
Je regardais autour de moi, j’avais la lumière du soleil en plein dans les yeux, ça réveil, de plus quand Zelos arriva, le petit déjeuné avec lui.
« Tien, toi aussi tu est éblouie par ma beauté, ne t'inquiètes pas tu t'y fera, tien je t'ai amené ton repas. »
« Non, c’est la lumière du sol… Merci. »
N’allons pas contrarier mon père, hein ? Mon premier petit déjeuner consistant, je l’avais engloutie, j’avais passé l’âge de jouer les fines bouches, je mangeais tout ce qui s’offrait à moi, hé oui, la vie d’un voyageur n’était pas aussi rose.
On discutait de pas mal de choses, à des moments je ne comprenais rien à son charabia, comme pour le coup des ours de la région et de ses soirées d’hiver, enfin… c’est papa en bref…
La conversation avait tourné sur mes motivations, si je voulais quitter Amatsu, évidemment que oui, j’avais pris goût à la vie du voyage, j’étais prêt à le suivre jusqu’au bout du monde.
Je souhaitais aider les gens… Il conclue très vite que je deviendrais un acolyte.
« On partira demain à l’aube pour Prontera alors, mon petit Soma Cruz »
« Soma Cruz ? Et c’est Sôma d’abord ! »
« Allons allons, l’accent circonflexe c’est has been. »
Je n’avais pas compris à nouveau, il continua :
« Il te faut un nom de famille non ? Tu n’as pas de famille tu m’as dis. »
C’est vrai… Quand j’ai été recueillie par Razielle j’ai arrêté de porter le nom Kurusu.
« Alors pourquoi ne pas hériter des miens : Edward Soma Zelos Aldeberd Uesugi Wilder Cruz ! Laklass non ? Mais je préfère un bon nom simple, donc Soma Cruz. »
Cruz… Ca sonne bien avec Kurusu, oui ça me plaisait, et à la vue d’un nouveau nom, je me sentais sur un nouveau chemin dans ma vie, un nouveau départ.
« Oui, Soma Cruz c’est « laklass » ! »

Après un mois de voyage, nous sommes parvenu à Prontera, capitale de Rune Midgar, également capitale économique, tout les marchands étaient là, on pouvait sentir les bonnes affaires comme les plus belles arnaques. Mais nous n’étions pas là pour faire les courses, je devais passer acolyte, ainsi nous nous sommes dirigé vers l’église de la ville.
Mon père s’adressa au prêtre qui se charge du passage en tant qu’acolyte :
« Je vais m’occuper de ce petit, ne vous en faites pas ! J’suis un croisée, l’église sa me connaît, j’vous le ramène pour la messe ! »
Il prit l’uniforme d’acolyte au prêtre qui en avait pas mal en stock et me le donna, avec le sourire d’un père qui était fière de son fils.



Mon uniforme était blanc, ça allait bien avec mes cheveux, la petite ceinture rouge assortie aux yeux, oh et puis les chaussures, super confortable, m’en souviendrait toujours, d’ailleurs le model est assez similaire à ceux des prêtres.
Une heure plus tard il m’emmena aux terrains d’entraînement au sud de la ville, il voulait m’apprendre à me battre mais c’était bien pire que cela…
Je crois que c’est l’expérience la plus traumatisante de ma vie, mais la triste vérité est que nous sommes confronté à ça tout les jours, nous, les acolytes, prêtres ou encore moines…



Mon père enfila un accoutrement d’entraîneur, me donna une batte et fonça se cacher dans les buissons.

« N’oublie pas ! Ton père est avec toi hin ! Vas-y fiston ! »


Je ne savais pas ce que j’allais affronter, ni comment j’allais me battre, je n’avais aucune réelle notion de combat, et encore moins avec une arme… Mais vue que mon père s’était planqué, j’ai soudainement eu l’impression que l’ennemie serait farouche.
C’est alors qu’un jeune homme m’aborda. Un passant qui voulait qu’on lui rende service.



Il désirait des soins… Le problème, c’est que je ne savais pas encore soigner. Je lui répondis aimablement que je n’étais pas en mesure de le faire, mais il s’est mit à insister, jusqu’à le crier fort. Déjà qu’il m’avait détruit mon oreille gauche, cela avait ramené plus de personnes, me demandant la même chose, je ne savais plus quoi faire, j’étais noyé dans une marée vivante de novices (oui ça s’appelle comme ça…).



Ce fut un moment très traumatisant de ma vie comme je vous l’avait dit, non, pas autant que mon enlèvement tout de même, mais cet évènement avait réveillé quelque chose en moi.



A ce moment là, j’ai serré la batte de toute mes force et frappé de plein fouet l’un des novices qui tomba à terre… Les autres avait sortie leurs couteaux tout en continuant de hurler, ça ressemblait plus à des cries de guerre qu’autre chose dans l’état où j’étais.



J’étais parvenu à tous les mettre à terre sans trop de peine, j’avais réussie l’épreuve.
Ce jour là il m’avait fallu une bonne demi-heure pour me calmer, car des comme ça, il n’y en avait pas que sur le terrain d’entraînement de Prontera… C’est comme ça que je suis devenu allergique aux « Heal plz » et ses variantes.
Enfin bon… J’ai appris à mes dépends que j’étais capable de me battre, et cela m’a bien aidé tout le long de mon périple, merci encore papa.

Aujourd’hui, en ce qui concerne le « heal plz » cela continue toujours, mais je préfère partir, ignorer la personne (ça m’a demandé des années d’entraînement ça…) ou encore me téléporter avant que je ne perde le contrôle de moi-même.

encore encore mais zelos decsend la qualiter -_- dommage

Ouais a mort les novices!!!

bravo c'est vraiment bon

PLUS PLUS' J'EN vEUX PLUS

Excelllent xD

Copitage sur Hachi mais j'adore aussi ^^



« Tien, toi aussi tu est éblouie par ma beauté, ne t'inquiètes pas tu t'y fera, tien je t'ai amené ton repas. »


C'est bien, tu mets Zelos et tu y mets même ses fautes d'orthographe... chapeau tu as le sens du détail

Continu comme ça

moi j'aime vraiment trop le visage du novice XD Il est trop beau en arriere plan sur mon bureau ^^

*moi j ai aime le passage du GTZ =p *

Sinon la classe t est la seul personne qui as rendu un acolyte beau

Excellent *_*

Le détail kitu : la broche d'acolyte qui se transforme quand tu t'enerves XD

GTZ XD

Sympa et beau, continues ^^

OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

OMAGAD !!!!!!!!!!


JE SUIS TOUT EN EXTASE SA MERITE UN BON GROS CAPLOCKDELAMORKITU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!



(on t'as déjà dit que tu sais bien désinné nen?)



NEN SERIEUX JE SUIS TROP BOOOOOOOOOOOOOOOOO XDDDD !!!

Arrêter sa tue ! je suis tout en !!!!!!


OUAAAAAA TU MA REDONER L'INSPIRATION DE LA MORT QUI TUE POUR REFAIRE MON RP !!

le rp est trop tooooooop !!!!!!!

ROOOOXXXXXXXXXAGE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ET JE FAIS UN COUCoU A TOUT CEUX DAMATSEU DE PRONTERA DES GENS QUI NOUS REGARDENT ET QUI NOUS LISENT CHAQUE JOURS ET ON FUCK TOUS CE GROS GOTH D'ANKOU DE GAY
!

jsuis tout ému (sa se vois)

ALORS GO TO OVERDOSE DE SMILEY !!

Un truc que je comprend pas qu est ce que tu foutais a amatsu ce jour la XD

Il avait été drogué par un alchimiste, et il a dérivé comme ça pendant deux mois (inconscient bien sûr) et il s'est retrouvé à Amatsu, y'a des choses qu'on ne peut expliquer, normal, papa Zelos c'est le plus fort

Je comprend mieu

Bizarre qu'il ne t'ait pas violé...

6ème souvenirs : La ruse des ténèbres

A l’église, les prêtres forment les acolytes, les éduques et les font étudier ici, c’est comme ça que j’ai appris à lire et à écrire et que je me suis découvert une passion pour les livres. Mon père n’avait jamais le temps pour m’apprendre à lire, il préférait me faire la lecture des 365 jours dans le trou du cul de Nifflheim de Farid ou encore celle du conte du poring orphelin, le lunatic lunatique, et le knife [3].
Pour les plus téméraires, des missions étaient donnés, cela allait du support jusqu’au nettoyages… Qu’est ce que j’entend par là ? On nous envoyait dans des coins pommés de Rune Midgar pour chasser des mort-vivants. On m’avait expliqué que certains lieux concentraient des flux ténébreux, ce qui attirait les démons ou poussait les morts à revenir à la vie. Les points principaux sur Rune Midgar sont Payon, Morroc, Geffen et la ville des morts : Nifflheim, qui elle doit être le point central des flux.
Juste le nom de cette ville me faisait frémir, mais je savais qu’un jour je devrais y aller. En tout cas j’avais été envoyé à Payon pour purifier la grotte qui était connu pour ses meurtres à outrances, l’église avait relevé un fort taux d’apparitions et une hausse des meurtres, tout laissait à croire que ces évènement étaient due à un puissant flux ténébreux, je devais trouver en trouver la source, pourquoi me confier une tel tache ? Ca devait faire 2 mois uniquement que j’étais devenu acolyte, j’allais y laisser ma peau, sachant que la grotte en elle-même est mal fréquentée, alors si les mauvais esprits jouent avec…

J’entre dans la grotte, un voleur m’aborde…



Moi ? Touché par les esprits malins ? Pas du tout, c’est mon allergie, vous vous rappelez ? Et puis c’était un danger potentiel en moins, enfin… c’est ce que je m’étais dis pour avoir bonne conscience.
En revanche, suite à la correction que j’ai inculquée à ce voleur, le danger était loin d’être écarté, en fait, j’avais une bande de chasseur de primes à mes trousses… Ils n’étaient pas réellement motivés par l’argent, mais par l’envie de tuer uniquement, c’était le genre de brutes qui était capable de donner à un acolyte un vol direct pour le paradis en un bash.



Possédés par l’esprit malin ? Aucun doute là-dessus, mais j’étais loin d’être en mesure de les arrêter, donc je me suis mis à courir le plus loin possible en espérant qu’ils ne me suivraient pas.

J’ai fini par me perdre dans cette grotte qui n’en finissait plus, étrangement il n’y avait plus de zombies, mais plus personnes également… Je commençais à avoir peur. J’avais lu je ne sais où dans les archives de l’église que des squelettes animé par le combat hantaient les lieux, mais ils n’étaient pas comme ceux de l’entrée… Je crois que j’étais descendu trop bas… Je venais d’apercevoir un squelette bleu, et celui-ci semblait m’avoir repéré bien avant…


…Plus de doute, j’étais largement trop loin.

Qu’allais-je faire ? Se téléporter était trop dangereux, c’était le moyens le plus rapide pour mourir, de plus je ne maîtrisait pas totalement ce pouvoir contrairement à d’autres. Continuer plus loin serait une erreur, et retourner au premier niveau de la grotte serait du suicide également. Et quand j’y pense, rentrer à l’église bredouille aurait été une honte.
Si je ne pouvais pas me débarrasser de tout ces morts-vivants, autant arrêter ceux qui en créaient des nouveaux, c'est-à-dire ces faux chasseurs de primes.
Une idée me traversa l’esprit, quoiqu’un peu risqué, c’était ma seule chance, tout en esquivant les flèches du mieux que je pouvais, j’ai tenté d’attirer l’attention de ce peuple squelettique.
J’ai commencé par prier à voix haute pour que le puissant gong d’angélus retentisse…
Quand les regards furent braqués sur moi j’ai tout simplement fait des doigts d’honneurs.

« De la part du seigneur ! »



Ca avait marché, ils étaient tous derrière moi, j’ai détalé aussi vite qu’un voleur (j’ai l’habitude qu’on me courre après mine de rien…).



Je ne les ai pas compté sous peur de me prendre une flèche dans l’œil en me retournant, mais au bruit il y en avait beaucoup. Furieux, il me suivirent jusqu’au premier niveau de la grotte. Alerté par les bruits, la plupart des personnes sortirent de la grotte, ce fut une chance ! Je me ruai derrière un des chasseurs de prime, content de voir sa proie tomber dans sa gueule.
« He… He… J’vais te crever petit… »
« Va saluer mes amis plutôt ! »

C’était à ce moment précis que la troupe entière de squelettes s’abattit sur eux, je m’étais faufilé assez vite de ce combat perdu d’avance par les fauteurs de troubles, paix à leurs âmes.
Je me suis empressé de sortir et d’aller me reposer à l’auberge la plus proche.

Je crois que c’était une bonne solution, combattre le mal par le mal…
L’antre fut inaccessible durant le reste de la journée à cause de la présence de ces tas d’os, ils ont dut finir par retourner au fin font de leur territoires ou bien des prêtres les ont exterminés.
Suite à cela, le nombre de meurtres avait baissé, j’avais réussie ma mission mais on m’avait sévèrement punie pour la méthode employée, je ne sais pas si ils se doutaient que le nombre de gens tué n’étaient pas du uniquement aux mort-vivants…

A l’heure actuelle, je crois que la grotte de Payon est l’un des endroits où il y a le moins de problèmes, les flux y sont devenus faibles, c’est ce que j’avais constaté la semaine dernière en allant m’y promener.

MDR je veux des doigt d'honneur avec angelus

Ton histoire et tes dessins me laisse bouche bé... Je ne sais quoi dire c'est de l'excellent boulot

*Soma Cruz Addict*

Dis soma, c'est quand tes prochain dessins et la continuation de l'histoire? J'en veux encore la!

Arrete de tripotter Fred un peu et reprend vite le crayon...pas celui de Fred, celui que tu utilise pour dessiner XD.

(a moins que...non non j'imagine pas cette scene XD)